Neuillay affrontait ce dimanche un adversaire bien connu et contre lequel il réussit plutôt bien : Niherne. Et les données étaient simple, avec une victoire, l’ASN assurait son maintien. Au niveau de l’effectif, Neuillay affichait presque complet (malgré les blessures de Jonath’ Gonnin et de Franck Petibon) alors que Niherne présentait 13 joueurs, dont plusieurs de l’équipe fanion. Alors que la chaleur était étouffante !
Composition :
Feuillade
Bardon Faggin (cap.) Godard Gillet
Deschamps Coquerel Nivert
Paris Lecoeur Penneroux
Bardon Faggin (cap.) Godard Gillet
Deschamps Coquerel Nivert
Paris Lecoeur Penneroux
Remplaçants : Petibon R., Polfliet, Mancois
Blessés : Gonnin (dos), Petibon F. (cuisse), Gilbert (ménisque),
Choix de l’entraineur : Abraham, Esvan, Poupinot, Lefebvre, Chirault
Choix de l’entraineur : Abraham, Esvan, Poupinot, Lefebvre, Chirault
Et la partie allait commencer sur un bon rythme. L’ASN avait peut-être un peu plus de mal à mener ces attaques et plaçait des contres grâce à ces ailiers à l’ancienne. Penneroux se crée la première grosse occasion sur un centre de Paris, mais loupe le cadre u gauche. Du côté visiteur, les occasions vont se succéder et les poteaux de Feuillade vont trembler à deux reprises, jusqu’au but ou le numéro 10 parviendra à s’échapper et à ajuster le gardien novellien. Retour dans les vestiaires sur un score de 1 à 0 pour Niherne, qui méritait peut être même mieux.
La seconde période commençait sensiblement de la même manière, malgré le replacement de Godard au milieu et la rentrée de Polfliet aux avant-postes. C’est même l’ancien novellien Adrien Morin qui s’offrait un but superbe après un drible sur Nivert, et une frappe des 35 mètres pour lober Clément Feuillade. Les choses n’allaient pas évoluer jusqu’à l’éclair de génie de Penneroux, qui avant cela, avait raté la même reprise qu’en première mi-temps : une frappe sèche des 25 mètres, à ras de terre, pour l’égalisation. Il n’en fallait pas plus pour réveiller les blancs et noirs, qui vont dès lors dominer sans partage la fin de rencontre. Ainsi, sur ce centre de Paris, Godard se retrouvait étrangement seul pour égaliser de la tête (2-2). Enfin, c’est Lecoeur qui allait enfoncer le clou sur un raid solitaire plein de puissance dans la surface, pour faire exploser de joie le public du stade de la route de Nuret (3-2) !
Avec cette victoire, Neuillay assure donc son maintien en quatrième division, et se rendra à Chatillon dans deux semaines pour un dernier match sans enjeu. L’occasion de prendre du plaisir et d’affronter une belle équipe sur une pelouse magnifique, pour conclure cette saison avec panache !
