Retrouvez toute l'actualité de l'équipe de football de Neuillay les Bois sur son site internet.
Réusmé des rencontres, photos, classement, reportages etc.
L'ASN est toujours à la recherche de joueurs, dirigeants, arbitres. Vous pouvez donc contacter le Président, Didier Mançois (0688858287) ou le secrétaire, Bastien Coquerel (0676681001) pour rejoindre les vikings de Neuillay !

17 avril 2006

Des médias et de l'activisme

Le cinquième numéro de l'excellent FOOT CITOYEN MAGAZINE est sorti, et c'est toujours un plaisir de feuilleter cette parution, dont beaucoup devrait s'inspirer dans leur club.

N'hésiter pas, non plus, à aller visiter leur site, ça fera plaisir à Basile Boli, en plus.

www.footcitoyen.org

13 avril 2006

Encore un petit effort !

Dimanche 02 Avril 2006

ASN - Sassièrges

La composition :

Esvan
Petibon F. Faggin (cap.) Thomas
Chirault Coquerel
Poupinot Germain
Paris Meklati Penneroux

Remplaçants : Feuillade, Abraham, Nivert
Blessés : Lecoeur (genou), Jutier (cheville)
Choix de l'entraineur : Petibon R., Polfliet

14 - 0 ! A l'occasion de ce match, l'ASN a joué avec une tactique inédite cette année, un 3-4-3 résolement tourné vers un jeu offensif. Une défense à trois éléments, Petibon F., Thomas N. et Faggin P. (Clément "Klem Campbell" Feuillade et Julien Nivert ont donc fait les frais de la concurence en prenant place sur le banc des remplaçants), ensuite un milieu avec deux joueurs défensifs (Chirault A. et Coquerel B.) et deux joueurs offensifs (Germain L. et Mika "Miel Poups" Poupinot), et enfin une attaque composée de Paris D., Penneroux K. et Meklati S.

Le score parle, je crois de lui même. A noter les 5 buts de Kévin Penneroux.

Un accord tacite a également été passé avec Pascal Faggin : si nous montons cette année (et nous monterons), notre vaillant capitaine devra jouer toute la saison prochaine (ou au moins un match, de gala) avec une légère moustache, en souvenir de tous ces libéros de 5ème division que nous avons du nous farcir, et qui sont évidemment quasiment tous c'est bien connu, moustachus.

"Qui, moi ? Nan les gars, pas la moustache..."


Les photos du match !



L'homme tressé.






Dimanche 09 Avril 2006


St Maur - ASN

La composition :

Esvan
Petibon F. Faggin (cap.) Thomas
Chirault Coquerel
Poupinot Germain
Paris Meklati Penneroux

Remplaçants : Feuillade, Nivert
Blessés : Lecoeur (genou)
Choix de l'entraineur : Jutier, Petibon R., Polfliet, Abraham

Résultat : 9 - 1

Et c'est une nouvelle victoire à créditer au compte des hommes entraînés par Luc Germain. Après un invraissamblable coup d'envoi (15 minutes de retard), l'ASN ouvrait le score dès le début du match puis se faisait rattraper rapidement sur une erreur de marquage sur corner.
Cependant, les novelliens, en inscrivant 8 buts montraient qu'ils avaient de la ressource mentale, de la gnac', et surtout une ambition encore intacte. Trois buts pour Denis Paris et trois également pour le tout récent viking du mois de Mars Sofiane Meklati.

Statistique intéréssante, sur ses 7 derniers matchs, Neuillay a inscrit 57 buts et Pierrick Esvan est allé chercher le ballon dans ses filets à seulement 4 reprises.

"Quand on veut très fort quelque chose, on finit toujours par y arriver" - Marty McFly (Retour vers le futur)

Un point sur le classement :

1 Etrechet 59 (16 joué 14 G 1 N 1 P +65)
2 Neuillay Les Bois 57 (16 joué 13 G 2 N 1 P +86)
3 La Pérouille 54 (16 joué 12 G 2 N 2 P +29)

Prochain match le 23 Avril stade de la route de Nuret face à Prunier.

10 avril 2006

Viking du mois de Mars

Prenant le devant sur le capitaine de Mosnay/Tendu...

Sofiane Meklati


Date de naissance : 21 Octobre 1986
Lieu de naissance : Châteauroux
Taille : 1,90
Poid : 70 kg
Poste : Milieu offensif ou attaquant
Parcours : - Touvent : 1999-2002
- La Baraka : 2002-2003

- St Christophe : 2003-Janvier 2005
- ASN : Janvier 2005-2006
Divers : Donneur de surnom, entre gratuitement à l'Amazone


Son pied gauche de Denilson et son crochet intérieur repéré sur les terrains vagues de la cité des têtes de mort, le longiligne Sofiane Meklati a d'abord été formé à Touvent, pour ensuite jouer succesivement à La Baraka Chtx, puis en moins de 18 ans à St Christophe.
Débarqué il y a un peu plus d'un an maintenant (mercato d'hiver 2004/2005) en provenance de St Christophe à Neuillay, il a donc été élu recemment par ses pairs, ce qui témoigne d'une intégration plutôt réussie, viking de ce mois de Mars.

Ce joueur à vocation offensive, mais qui a également longtemps (en début d'année) joué milieu défensif (!) et dont la polyvalence est fortement apprécié du côté du stade de la route de Nuret, se place à une très belle quatième place au classement des buteurs (treize réalisations à ce jour). Cette année, l'homme à la tresse folle a donc pris une dimension impressionante ; son jeu de tête, sa légendaire gentillesse, ainsi que sa remarquable technique ont su se faire apprécié par le public, par ses coéquipiers, sur et en dehors du terrain...

A lui, a nous, et en ne perdant jamais de vue collectivement, que la victoire se ramène ensemble, avant, pendant et après le match, de mordre vers la quatrième division, et même plus !







L'important...

"L’important n’est pas de gagner mais de…participer !"

Par l’affirmation de ce principe, Pierre de Coubertin ne pensait sûrement pas aux masses de personnes se regroupant tous les jours de match (et parfois même d’entraînement) pour supporter leur équipe favorite...

Pourtant, le douxième homme, en football professionnel ou amateur, existe bel et bien. Il pousse le plus souvent ses coéquipiers (les joueurs) à se surpasser pour vaincre l’adversaire du jour. Ainsi, les joueurs célèbrent leur but et la victoire en communion avec le public. Celui-ci, supporter ou spectateur (?) a de toute façon choisit son camp entre les deux équipes, entre l'objectivité du spectacle proposé et la subjectivité du parti-pris partisan.

Le monde est rond
Mais se divise en continents qui se divisent en pays
Se divisant en nombres d'hommes se divisant en camps
Définir son camp : une réponse au conflit
Maintenant tu connais la limite à pas franchir
Pour pas qu'on te pende
Trop de conflits sont une question de camps
Et quand est-ce que tu te casses
Du coin que j'ai choisis de te prendre ?
Difficile partage à coups de missiles là-bas
Ici carnage au couteau pour le hall qui vend mieux le shit
J'ai des amis dans chaque race
Ça n'empêche pas les renois et les reubeus
De se patater pour un terrain de foot
À ce niveau-là ça va encore, mais quand y a un mort
Bonjour les épisodes d'un feuilleton long comme "Côte Ouest"
Je me proclame l’élu qui rime au nom des exclus
Surpris de subir la vie et de presque plus en pleurer
Je parle pour ceux qui pleurent des larmes rouges
D'avoir pris les armes prouvant qu'on est pas du même camp

Oxmo Puccino - Qui peut le nier ?


L’homme qui choisit son camp, et le supporter par extension n’a de cesse de se trouver des sources de motivation diverses et des conflits existentiels à résoudre. Alors quand son équipe va mal, il va mal aussi. Et le résultat pour le co-supporter est souvent plus proche de la complicité fidèle que de la honte collective. Ils sont donc capable d’huer ("ils ont perdu !") ensemble ceux qu’ils acclamaient peu avant ("on a gagné !"), de demander la démission de ceux qu’ils défendaient becs et ongles, dans un immense phénomène de "copier-coller" des stades de foot.

Pourquoi le supporter n’est il pas capable d’apprécier, tous simplement, un jeu qui est beau, une action bien construite, une parade spectaculaire, un geste surprenant ? Si le public se rue dans les stades le samedi soir, c’est qu’il attend quelque chose de beau avant tout. Or, toute équipe est capable de produire un jeu révélateur d’une aisance technique ou tactique. Qui ne ressent pas un frisson intense devant la virgule de Ronaldinho, l’accélération d’Henry, le tacle de Cris ou la belle frappe d’un illustre inconnu d’un terrain amateur quelconque ? Si l’équipe, qui vaincra la préférée du si fidèle supporter, est capable d’apporter bonheur au peuple d’une ville ou d’une région (au moins jusqu’au match suivant !), pourquoi ne réussirait-elle pas à convertir une autre communauté ? Est-il quelque chose de si difficile d’applaudir un beau geste, lorsqu’il ne vient pas de son joueur favori ? Les exemples de publics qui félicitent un joueur ou une équipe qui n’est pas « la leur » sont bien trop peu nombreux pour être significatifs…Et c’est dommage ! Psychologiquement et collectivement, il y a un travail intérieur difficile à produire pour prendre le pas sur tout le nationalisme ou régionalisme puant ("allez, soyons un peu chauvin !") ambiant des stades de foot…

Autre échelle, autre constat, à un niveau amateur, imaginez un peu l’influence du public sur des jeunes sportifs…"Les fautes sont toujours contre nous", "l’arbitre de touche bénévole est un voleur", même la chance a apparemment choisi son camp dans la bataille des tranchées que se livre les sportifs. Comme le public finalement...

A l’image de parents qui conspuent un arbitre qu’ils estiment mauvais ou une équipe qui jouent contre celle de leur fiston, ou leur fiston lui-même (avant, pendant ou après le match), les supporters des clubs professionnels voient juste leur passion, et donc leurs travers, amplifiés par la hausse, toute relative pourtant, de l’enjeu.

L’important, c’est pourtant de participer.

Le gain d’un match doit être secondaire pour être apprécié à sa juste mesure. En effet, une victoire n’est belle que parce que l’adversaire du jour était valeureux…L’encourager, et donc, l’applaudir pour un beau geste, le rendre meilleur, n’apportera qu’une plus belle victoire aux spectateurs. L’important, c’est donc de participer !


BC

03 avril 2006

Bal du foot 2006

Voici quelques photos du bal du foot, soirée couscous qui s'est déroulé le 18 Mars dernier, salle des fêtes de Neuillay. Merci à toutes les personnes présentes, en éspérant que vous ayez passé une aussi bonne soirée que nous.

Et on fait tourné les serviettes.