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10 février 2009

Hasta la victoria siempre


L'ASN recevait dimanche dernier Azay pour le second match de ce mois marathon de février, avec pour ambition de continuer la série en cours. Toujours sans gardien, et avec quelques joueurs malades, les blancs et noirs ont fait plutôt bonne impression. Match référence vous avez dit ?

Composition

Lecoeur
Petibon F. Faggin (cap.) Deschamps Gillet
Coquerel Abraham
Godard Penneroux Nivert
Polfliet
Remplaçant : Gonnin
Blessés : Paris (genou), Petibon R. (malade), Lefebvre (malade), Feuillade (malade)
Choix de l'entraineur : Poupinot, Mançois, Gilbert, Esvan, Chirault
Lors de cette première mi-temps, les deux équipes vont se neutraliser. Un match de milieu de terrain avec une légère domination des visiteurs peut-être. Du côté novellien, les meilleurs occasions seront une frappe des 20 mètres de Polfliet un peu molle et un centre-tir vicieux de Godard qui finira par s'échapper du cadre. Mi-temps sur un score nul et vierge, 0 à 0.
Les deux équipes reviennent avec de nouvelles intentions. Polfliet est sorti au profit de Gonnin qui fait son retour après trois matchs d'absence. Gonnin qui se procurera tout de suite une énorme occasion face au gardien, mais qui tirera à côté. Pas le temps de douter puisque c'est lui qui va débloquer la situation peu de temps après. Départ de Godard côté droit après une erreur du défenseur gauche d'Azay. Cafouillage, le cuir revient sur Gonnin qui marque en renard. Pas le plus beau but de Neuillay, mais un but qui compte.
Puis le plus beau arrive. Après la sortie de Petibon sur crampes, Penneroux prend le côté droit de la défense. Une première frappe sur le poteau. C'est bon, kéké à la cartouche qui démange aujourd'hui. Bien lancé par Polfliet quelques minutes plus tard, il drible puis expédie un missile du gauche dans la lulu. Magnifique but pour les blancs et noirs qui font le break.


Enfin, Azay tire ses dernières cartouches et provoque des coup-francs très dangereux (voir photo). C'est d'ailleurs sur un coup-franc que le score sera réduit sur un beau tir du 11. Avant cela, Lecoeur (cinquième gardien de Neuillay cette année !) était superbement sorti dans les pieds d'un attaquant sur une passe en retrait un peu molle de Faggin. Un vrai tacle de défenseur !

Bref, malgré la panique et la fatigue en fin de match pour Neuillay, les blancs et noirs étaient certainement supérieur et ont réussi à faire un match solide de bout en bout, en ne concédant que peu d'occasion et en faisant un minimum de jeu. De bonne augure pour la suite, dimanche prochain, avec la récéption en retard de Paulnay.

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